Problème ce soir et pourtant il n'y avait pas de problème, pas "d'orange", pas d'annonce. C'est comme ça à la RATP qui certains jours surinforme et d'autres choisit la tactique du "c'est pas la peine d'en parler".
Finalement que ce soit en matière de transports ou de politique, on n'a encore rien inventé de mieux que la bonne vieille méthode Coué !
Moralité 25 minutes d'attente sur le quai de Nanterre-Université pour récupérer un train SNCF. Retour au bercail dans les eaux de 21h00.
La pluie s'était arrêtée et j'ai pu consulter tout à loisir sur mon "androïd", le Monde en ligne. J'ai particulièrement apprécié un article sur la "fessée" et ses méfaits, rédigé par un médecin dont la clientèle lui laisse apparemment du temps libre pour écrire. J'ai également beaucoup goûté le débat des lecteurs qui s'en est suivi. Article et débats hallucinants et surréalistes sur le traumatisme de la "fessée" considérée comme une maltraitance avec à la clé une loi l'interdisant (j'avais déjà eu vent d'une telle initiative parlementaire émanant sans doute d'un député en quête de publicité et rageant de ne pouvoir légiférer sur l'interdiction du pitbull, créneau déjà exploité par notre Président à une époque où il n'avait pas encore à s'occuper de la crise financière et de la Lybie).
Pourquoi pas créer un "observatoire de la fessée" pensé-je, hier il me semble que des âmes sensibles prônaient un "observatoire des suicides", cela permettrait d'occuper du monde (un président, un directeur général, un délégué, un secrétaire général, un trésorier, un conseil d'administration de le fessée, un conseil d'orientation de la fessée et pour finir de Grandes Assises Nationales annuelles de la fessée et certainement après trois ou quatre années de dur labeur, l'instauration sous l'égide de l'ONU d'une Journée Mondiale de la Fessée !)
Il paraît que la France constitue une nouvelle fois une "exception" en n'interdisant pas la fessée et si nous faisions tout simplement preuve de bon sens !
M'enfin... ! comme aurait dit Gaston Lagaffe.
Je termine ma consultation, je lève les yeux et je vois un train de l'autre côté de la voie, un train qui fait du surplace depuis cinq bonnes minutes. Trois "caillera" empêchent les portes de se refermer pour permettre à leurs copains de monter.
Là je me dis, que si l'on interdit la fessée, il faudrait au moins qu'on laisse en "vente libre", "les coups de pied au cul". Et puis, au fond peut-être que l'on pourrait interdire les coups de pied au cul pourvu que l'on fasse un bon usage pédagogique et préventif de la fessée !
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